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Correction du questionnaire 1 (chapitres II à VIII)

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Chapitre II (pages 13 et 14)

1. Robinson trouve un bouc qu’il tue avec une grosse souche qui lui sert de massue. L’animal n’a pas fui car il ne connaissait pas l’homme et n’en avait donc pas peur.

2. Il escalade un massif de rochers au haut duquel il constate que la mer cerne la terre de tous côtés, et qu'il est donc sur une île déserte.

Chapitre III (pages16 à 18)

3. Robinson se sent «frais et dispos après une bonne nuit de sommeil». Il se réjouit que l’île ne soit pas «peuplée de cannibales». En outre, l’île lui paraît «assez accueillante».

4. Il décide d’entretenir le feu pour économiser son briquet et pour attirer l’attention d’éventuels bateaux passant dans les parages.

Chapitre V (pages 22 à 24)

5. Robinson construit un bateau, mais avec bien des difficultés car il n’a pas les outils nécessaires, le bois se fend lorsqu’il essaie de le rendre plus solide et étanche, etc.

6. Il nomme le bateau L’Évasion.

7. Robinson l’a construit trop loin de la mer, et il ne parvient pas à tirer à la mer le bateau qui pèse près de 500 kilos.

Chapitre VI (pages 25 à 28)

8. Les pécaris s’enfoncent dans la boue pour se mettre à l’abri de la chaleur et des moustiques.

9. En imitant les pécaris, Robinson se comporte comme une bête, et manque de devenir fou à cause des gaz qui se dégagent de l’eau croupie.

Chapitre VII (pages 30 à 36)

10. Il récupère des livres dont l’eau de mer et de pluie a effacé l’encre et qu’il réutilise pour écrire son journal après les avoir fait sécher. Des poissons (le diodon ou poisson-hérisson) lui fournissent de quoi faire de l’encre.

11. Il l’appelle Speranza, l’île de l’espérance.

12. Les dangers qu'encourt Robinson sont la paresse, le découragement, et le désespoir.

13. Il retrouve Tenn, le chien de La Virginie.

14. Il cherche à mesurer le temps, d’abord en confectionnant une clepsydre (une horloge à eau) puis un calendrier en se servant d’un mât sur lequel il fait chaque jour une encoche.

Chapitre VIII (pages 37 à 44)

15. Ce sont des Indiens de la côte du Chili. Ils se livrent à une cérémonie lors de laquelle on trouve le responsable d’un malheur quelconque. Celui-ci est décapité, ses membres sont tranchés et jetés au feu.

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