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Exercices de réécriture

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Exercice 1

Réécrivez le texte suivant en remplaçant « je » par «  nous ».

attentionDE MULTIPLES CHANGEMENTS SONT À PRÉVOIR.

Je ne suis pas descendu en ces lieux pour voir le ténébreux Tartare, ni pour enchaîner par ses trois gorges, hérissées de serpents, le monstre qu’enfanta Méduse ; je suis venu chercher ici mon épouse ; une vipère, qu’elle avait foulée du pied, lui a injecté son venin et la fait périr à la fleur de l’âge. J’ai voulu pouvoir supporter mon malheur et je l’ai tenté je ne le nierais pas.

Exercice 2

Réécrivez le texte suivant en remplaçant « l’enfant» par « je ».

attentionDE MULTIPLES CHANGEMENTS SONT À PRÉVOIR.

L’enfant naquit. On l’appela Héraclès. Au bruit de ses premiers cris, la colère et la jalousie d’Héra se réveillèrent. Décidée à assouvir sur l’enfant la fureur qu’elle éprouvait envers le père, elle envoya deux serpents pour le tuer dans son berceau. Mais Héraclès était déjà doué d’une force surhumaine : de ses petites mains, il étrangla les serpents ! En grandissant, il ne fit que développer sa puissance qui provoquait l’admiration de tous, sauf de son cousin.

Exercice 3

Réécrivez le texte suivant en remplaçant « je » par « ils ».

attentionDE MULTIPLES CHANGEMENTS SONT À PRÉVOIR.

De mon épée aiguë, je creusai une fosse d’une coudée en long et en large. Je fis tout autour les libations aux morts : de lait miellé d’abord, puis de vin doux, et enfin d’eau. Par-dessus, je répandis la farine blanche. J’invoquai alors longtemps les têtes sans force des morts. Je leur promis de sacrifier sur un bûcher, dès mon retour à Ithaque, ma meilleure vache stérile. Je promis en outre de sacrifier au seul Tirésias un bélier entièrement noir. Quand j’eus prié le peuple des morts, j’égorgeai les bêtes sur la fosse ; le sang noir coula. Alors les âmes des morts qui ne sont plus surgirent en nombre de l’Érèbe. Toutes accouraient autour de la fosse, poussaient des cris terribles. La verte peur me saisit. J’ordonnai à mes compagnons d’écorcher les animaux égorgés et de les brûler en l’honneur du vaillant Hadès et de la terrible Perséphone. Moi, tirant mon épée aiguë, j’empêchai les têtes sans force des morts de boire le sang tant que Tirésias n’aurait pas parlé.

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